Certains proches de patients prennent la décision d’interrompre le traitement proposé par le corps médical. Des conséquences graves peuvent s’en suivre. Afin d’analyser la situation, l’hôpital est entré en contact avec un juriste pour mieux éclairer ce genre de problème. Une réunion d’échange s’est tenue hier 30 décembre 20 en présence de la surveillante générale, major de la pédiatrie, major de la néonatologie, le chargé de communication, fundi Aboubacr (religieux) et maitre Nadhufa (juriste).
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